Un rapport formule des préconisations pour mettre en place un fonds de prévention de l’usure professionnelle dans la fonction publique territoriale. Il livre aussi des informations sur les deux autres dispositifs du même type, en particulier le fonds qui concernera les agents des établissements médico-sociaux publics.

La dernière enquête de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), auprès des écoles qui dispensent des formations aux professions sociales, révèle les grandes tendances pour l'année 2022.

À l'occasion de la journée nationale de la laïcité du 9 décembre, Guylain Chevrier, docteur en histoire et formateur, aborde dans cette tribune libre* la neutralité convictionnelle des travailleurs sociaux. Sujet qui, selon lui, prend une dimension de plus en plus questionnante à travers les échos qu'il reçoit d'associations gérant des établissements sociaux et médico-sociaux.

Au lendemain de la publication des quatorze recommandations du Haut Conseil du travail social (HCTS), quatre organisations, de Nexem à la Cnape, pressent le gouvernement de les mettre en œuvre rapidement.

Si cinq ministres se sont déplacés pour recevoir officiellement les propositions du Haut Conseil du travail social, aucune nouvelle mesure concrète, pour l’heure, n’a été dévoilée pour sortir le secteur de sa crise d'attractivité et de sens.

Afin de résoudre la crise d’attractivité des métiers de l’intervention sociale, le Haut Conseil du travail social recommande des hausses de rémunération mais aussi des mutations, à plus long terme, pour retrouver le sens de l'accompagnement social.

Le 30 novembre, lors des deuxièmes journées du numérique en santé dans les secteurs social et médico-social, les pouvoirs publics se sont félicités de l’appropriation de ce chantier par les professionnels. La ministre Aurore Bergé s’est engagée à "amplifier" cette politique.