Politiques de l’autonomie, petite enfance, attractivité des métiers… Face à l’Association des journalistes de l’information sociale (Ajis), la ministre des Solidarités et des Familles, Aurore Bergé, a présenté ses priorités. Elle promet des annonces lors de la remise du Livre blanc du travail social prévue le 5 décembre.

Dans le champ associatif, le secteur sanitaire et social (santé, hébergement médico-social et action sociale sans hébergement) représente, à lui seul, 56 % des effectifs salariés, soit plus d’un million d’emplois.

Comment les hommes s’orientent vers les métiers dits “féminins” ? Comment se déroule leur formation ? Alice Olivier, enseignante-chercheuse en sociologie à l’Université de Lille, a étudié pendant cinq ans deux formations, celle menant au métier de sage-femme et celle d’assistant de service social (ASS), où l’on retrouve respectivement 98 % et 93 % de femmes.

Aucune remise officielle au gouvernement n'est encore prévue pour le Livre blanc du Haut Conseil du travail social (HCTS), pourtant adopté depuis déjà plus d'un mois. Faut-il redouter l'abandon des propositions qu'il contient ? Plusieurs acteurs s’impatientent.

Face à la crise du recrutement et à la perte de sens vécue par de nombreux travailleurs sociaux, comment améliorer l’attractivité des métiers et le bien-être au travail ? Des acteurs du secteur ont partagé leurs initiatives lors d’une journée de formation du Gepso, le 6 octobre.

Ce 8e épisode de notre podcast donne la parole à Justine Pivert, 24 ans, qui a obtenu cet été son diplôme d'État d'assistante de service social (DEASS), au centre Croix-Rouge Compétences de Chambray-lès-Tours. Aujourd'hui en poste, la jeune diplômée partage la manière dont elle a vécu cette formation "pas comme les autres", qui bouscule et questionne.