Vivre avec une personne en perte d’autonomie, même lorsque l’on ne lui apporte pas d’aide directement, serait un facteur de mauvaise santé. C’est ce que montre la Drees, dans une étude publiée à quelques jours de la journée nationale des aidants du 6 octobre.
C’est presque devenu un lieu commun : les aidants de personnes en perte d’autonomie, en particulier quand ils sont eux-mêmes âgés, présentent souvent une santé dégradée.
Largement documenté, ce sujet figure d’ailleurs au menu de la Stratégie de mobilisation et de soutien pour les aidants 2023 – 2027 qui prévoit notamment de proposer des bilans de santé à ce public.