Une série d'études de l'Unédic offre un aperçu, en trois volets, de l'articulation entre l'assurance chômage, versée par l'Unédic, et les minima sociaux, versés par l'État, le département et les organismes de sécurité sociale.

À travers une étude en trois volets, l'Unédic apporte des éclairages pour mieux comprendre les interactions entre d'une part, les minima et prestations sociales, qui dépendent de l'État, des organismes de sécurité sociale et des départements, et d'autre part, l'assurance chômage gérée par l'Unédic.

Dans le premier volet de l'étude, l'Unédic partage un panorama des dispositifs, présente les différentes allocations et prestations, les personnes qu'elles concernent et les ressources financières qu'elles mobilisent.

Le deuxième volet offre un aperçu de la « combinaison des dispositifs d'ARE [allocation d’aide au retour à l’emploi], de l'allocation de solidarité spécifique, de la prime d'activité et du RSA ». Enfin, le troisième volet apporte des éléments de réponse à partir de plusieurs exemples.

17 % des allocataires touchent la prime d’activité ou le RSA

« Combien d’allocataires de l’assurance chômage perçoivent l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) et la prime d’activité ? Peuvent-ils percevoir également le revenu de solidarité active ? (...) », s'interroge l'Unédic dans le volet 2 de son étude.