En lien avec Repairs!94 et Speak, le Groupe des établissements publics sociaux remet "70 propositions pour agir vite" en faveur de la protection de l’enfance. Les auteurs reprennent plusieurs solutions consensuelles, mais prônent aussi un "choc des rémunérations".
Pour la journée internationale des droits de l’enfant, le 20 novembre, la jeunesse aura été gâtée, au moins, en perspectives d’avenir. Outre les pistes d’action présentées par la Délégation aux droits des enfants, à l’Assemblée nationale, ou les demandes de la Dynamique pour les droits des enfants, soixante-dix « Propositions pour agir vite » ont également été remises par trois acteurs de la protection de l’enfance.
Il est vrai que toutes les parties prenantes de ce secteur « convergent vers le constat d’une crise sans précédent », qui « met en péril la protection des enfants dans de plus en plus de territoires », rappellent d’emblée les dix auteurs, issus du Groupe national des établissements publics sociaux et médico-sociaux (Gepso), de Repairs! 94 et de Speak. Pour y remédier, les trois organisations rassemblent des solutions qui font déjà consensus, ainsi que quelques pistes plus originales.