Dans un avis consacré à l'insertion, le CNLE rappelle les effets bénéfiques des contrats aidés. Il suggère aussi de revoir les politiques de sanctions contre les allocataires de minima sociaux et de lutter contre les inégalités d'accès à ces prestations.
Le Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale (CNLE) appelle le gouvernement, dans un avis publié le 15 novembre, à « réduire les effets de stigmatisation attachés aux emplois aidés » et à reconsidérer « ses positions unilatéralement critiques » sur ce type de contrats.