Une étude de Familles solidaires met en lumière des inégalités dans la prise en charge des habitats inclusifs par les conseils départementaux. L’association réclame une clarification au niveau national.
Comment les porteurs de projets d’habitats inclusifs financent-ils les coûts indirects liés à l’animation du « projet de vie sociale et partagée », requis pour ces dispositifs ? C’est ce qu’a cherché à savoir l’association Familles solidaires, qui accompagne des initiatives dans toute la France, en lançant une enquête dans son réseau.
Elle a obtenu une quarantaine de réponses, ce qui représente 117 habitats inclusifs répartis dans 27 départements. Un échantillon qui ne vise pas l’exhaustivité mais permet de pointer certains constats.