Lors du salon des services à la personne (SAP), l'ancien ministre Jean-Louis Borloo a fait un plaidoyer vibrant pour les SAP, quasiment vingt ans après son plan qui a boosté le secteur. Il demande aux acteurs d'être très vigilants face aux menaces de la technocratie française.
Lors du traditionnel Salon des services à la personne, porte de Versailles à Paris, l'attraction du premier jour, ce 26 novembre, était incontestablement la venue de Jean-Louis Borloo, le ministre qui – début 2005 – avait donné un élan sans précédent aux services à la personne. « Sans lui, le Salon n'existerait pas », a affirmé Alain Bosetti, le président du Salon des SAP.