Alors que la proposition de loi « bien vieillir » sera examinée, en séance publique au Sénat, à partir du 30 janvier, la Fédération hospitalière de France (FHF) rappelle que « l’avancée la plus importante réside dans l’article 2 bis B qui prévoit l’adoption d’ici la fin de l’année 2024 d’une loi de programmation [pour le grand âge NDLR] ».
Ce texte sera « un outil structurant et indispensable pour définir les moyens financiers, déjà engagés ou à engager, et pour accroître le soutien à l’autonomie, que l’évolution démographique à l’horizon 2030 rend urgent d’adopter », poursuit-elle dans un document diffusé à l’occasion d'une conférence de presse, le 29 janvier.
Cette « programmation de moyens supplémentaires pour le secteur doit permettre de soutenir l’objectif gouvernemental de renforcement des effectifs (+ 50 000) », mais aussi de « définir la planification du développement de l’offre », et de « garantir le financement de l’investissement immobilier et technologique pour faire émerger l’offre de demain en établissement comme à domicile ».
Enfin, elle doit permettre « d’engager un vrai débat public sur l’augmentation des ressources de la branche », avance la FHF.
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