Le 22 juin, les six réseaux nationaux représentatifs des ateliers et chantiers d'insertion (ACI) ont fait part de leurs préoccupations. Aux difficultés financières s’ajoutent des inquiétudes quant à l’avenir de leur modèle.
Préserver le modèle des ateliers et chantiers d’insertion ! C’est autour de ce mot d’ordre que des professionnels des six réseaux nationaux représentatifs des ateliers et chantiers d’insertion (ACI) – Chantier école, Réseau Cocagne, Coorace, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité, Le mouvement des régies – s’étaient donné rendez-vous le 22 juin, à Paris.
Front commun
Alors que le projet de loi plein emploi doit être examiné en juillet, l’objectif est de faire front commun pour présenter les actions des ACI (en première ligne pour accompagner les personnes éloignées du marché du travail), et faire part de leurs préoccupations.
« Nous organisons cette journée pour exprimer notre force mais aussi pour dire avec fermeté que nous attendons des réponses précises pour soutenir nos structures fragilisées », avance Nathalie Latour, directrice générale de la Fédération des acteurs de la solidarité.