Dans ses conclusions intermédiaires, la Ciivise préconise d'organiser le "repérage systématique" des enfants victimes de violences sexuelles et de renforcer la formation, sur cette thématique, de l'ensemble des professionnels en contact avec eux.
Après une première année d'action, la Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) a présenté ses conclusions intermédiaires le 31 mars. Elle formule 20 préconisations « dont la mise en œuvre assurera un niveau plus élevé de protection des enfants contre les violences sexuelles ».
Quatre axes d'action
Les travaux de la Ciivise sont construits sur quatre « axes fondamentaux », du repérage des enfants victimes à la prévention de ces violences, en passant par leur traitement judiciaire et leur réparation.