Une mobilisation nationale était organisée, ce 6 octobre, pour alerter sur les pénuries de personnels dans les associations sociales et médico-sociales. L'Uniopss et ses partenaires espèrent sensibiliser au risque de "non assistance aux personnes en danger".
Les employeurs aussi peuvent exiger des augmentations pour leurs salariés. Ce 6 octobre, place de la Comédie à Montpellier et près du Capitole à Toulouse, ils étaient, au total, plus de 300 responsables d’associations et de fédérations à le revendiquer, d’après l’Uriopss d’Occitanie. « Cela peut paraître baroque », reconnaît Guillaume Fritschy, directeur de cette union régionale des associations de solidarité. « Mais ce qui nous inquiète, au bout, c’est que le défaut d’attractivité pour nos métiers fait lever un risque de rupture, dans l’accompagnement des personnes. »