Dans son discours de politique générale sans vote des parlementaires, Élisabeth Borne a rapidement évoqué les dossiers sociaux et médico-sociaux. Si la Première ministre a confirmé l'engagement du candidat Macron de réformer l'allocation aux adultes handicapés, elle n'a pas dit un mot sur une loi pour le grand âge.
C'était la première épreuve du feu pour la Première ministre, Élisabeth Borne, qui s'est présentée lors de sa déclaration de politique générale, à l'Assemblée nationale ce 6 juillet, comme ancienne ingénieure, directrice de société, préfète et ministre. Malgré des critiques très virulentes sur le flanc gauche, elle a su garder son calme pour dérouler son programme – en fait, celui du Président de la République – dans un discours de près d'une heure trente qui ressemblait surtout à un catalogue de mesures.