Suractivité chronique, qualité de service dégradée, manque de ressources humaines… Dans une enquête réalisée auprès de ses adhérents, le Gepso objective les dysfonctionnements des pouponnières. Il identifie "neufs enjeux" à examiner pour améliorer la situation.
Plus de six mois après l’alerte de la députée Isabelle Santiago sur les conditions d’accueil des nourrissons dans les pouponnières départementales, le Groupe national des établissements publics sociaux et médico-sociaux (Gepso) apporte, à travers une enquête de terrain publiée en décembre 2024, des preuves des difficultés de ces structures.
Réalisé avec le soutien de la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS), cet état des lieux prolonge la précédente étude d’août dernier qui avait révélé la saturation de ces structures.