Constituée de citoyens volontaires et d'agents publics retraités, la réserve apporterait un soutien aux services de la PJJ. Mais des doutes pèsent sur l'avenir de cette mesure, le Conseil constitutionnel pouvant la voir comme un "cavalier budgétaire".
L'Assemblée nationale a adopté, le 25 octobre, dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances pour 2022, la création d'une « réserve de protection judiciaire de la jeunesse » (PJJ), comme le proposait un amendement du ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti. Une telle réserve existe déjà au sein des juridictions judiciaires et de l'administration pénitentiaire.