Dans un plaidoyer, l’Union nationale ADMR juge "urgent" de réformer le système de financement des services d’aide et d’accompagnement à domicile (Saad) "famille". Ce afin d’améliorer l’accompagnement et de favoriser l’attractivité du métier de technicien de l’intervention sociale et familiale (TISF).
Alors que la loi « bien vieillir » prévoit l’expérimentation d’une tarification forfaitaire pour les services d’aide et d’accompagnement à domicile (Saad) s’adressant aux personnes âgées et handicapées, l’Union nationale ADMR propose de réformer le système de tarification des Saad qui accompagnent les familles vulnérables, souvent dans le cadre de l’aide sociale à l’enfance (ASE).
Comment ? En transformant le système actuel calculé en fonction du nombre d’heures d’intervention en un financement « à la mesure ».