Le second groupe français d'Ehpad a mis en place le programme "Emeis et Moi" qui doit permettre à 28 000 salariés de disposer de services et de conseils pour la vie quotidienne. Une opération qui s'inscrit dans la volonté de réduire l'absentéisme et le turn-over qui a déjà baissé.

Votée par les députés le 13 février, la proposition de loi de Gabriel Attal sur les mineurs délinquants fournit de nouveaux outils, à la main du juge, pour affermir les procédures visant les jeunes récidivistes responsables d'infractions graves.

Une réunion publique était organisée le 12 février à Toulouse par les formateurs et étudiants de l’Institut du travail social Erasme, sous la houlette de la CGT, après le licenciement du directeur pédagogique en décembre. Les salariés mobilisés pointent le management de la directrice actuelle, soutenue par le président, et une organisation s’éloignant des valeurs de l’éducation populaire dont elle est issue.

L'avenir des aides-soignants indépendants exerçant en établissement social et médico-social (ESMS), que la structure y ait recours directement ou par l'intermédiaire d'une plateforme de mise en relation, semble compromis. C'est ce qui ressort d'un récent arrêt du Conseil d'État.

Jeudi 13 février, les membres du Collectif des associations pour le logement ont déposé deux recours en responsabilité contre l'État devant le tribunal administratif de Paris pour "non-assistance à personnes mal logées".

À Marseille, la maison des plus petits offre à de jeunes enfants placés par l'aide sociale à l'enfance, porteurs de troubles du comportement, le cadre d'un lieu familial et à taille humaine, et l'accompagnement d'une équipe qui vit pour partie sur place.

Dans un rapport commandé après les émeutes de juillet 2023, une commission d’experts formule 40 propositions en faveur de l’aide à la parentalité. Elle appelle à soutenir les dispositifs existants et à valoriser le travail social « par plus de considération et de confiance ».

La Haute Autorité de santé (HAS) publie un premier volet de recommandations sur la vie intime, affective et sexuelle des personnes en établissements et services sociaux et médico-sociaux (ESSMS). Alors que les tabous persistent, elle veut promouvoir "une approche positive" du sujet.