Après les résultats des élections législatives, les associations du secteur des solidarités se disent "soulagées" et appellent les parlementaires à s'emparer de sujets consensuels, tels que le grand âge.

Dix départements pourront expérimenter des modes de financement différents pour certains services autonomie à domicile (SAD), pour le volet aide et accompagnement. Les modalités de l'expérimentation, prévue par la loi "Bien vieillir", sont fixées par décret.

Les modalités de désignation d'un professionnel qualifié chargé de la vérification et de l'approbation des comptes de la tutelle sont fixées. Cette réforme était prévue par la loi "Justice" du 23 mars 2019 afin de renforcer la protection des personnes vulnérables.

Un arrêté dévoile le cahier des charges à respecter pour bénéficier de la nouvelle qualité d'"organisme chargé du repérage et de l'accompagnement spécifique des personnes les plus éloignées de l'emploi".

Si le second tour a démenti les pronostics au niveau national, la situation est différente pour les acteurs du secteur. Jérôme Guedj, Annie Vidal, Sébastien Peytavie, Arthur Delaporte, Marianne Maximi retrouvent le Palais Bourbon alors que la vice-présidente de l'Assemblée, Caroline Fiat, et la ministre déléguée à l'Enfance, Sarah El Haïry, sont battues.

Depuis le 1er juin 2024, les aides à domicile financées par la branche Famille peuvent intervenir au titre d’un nouveau motif : la "prévention de l’épuisement parental". Pour remplir cette mission, la Cnaf mise sur un soutien au répit des familles.