À Arzacq-Arraziguet, une commune rurale des Pyrénées-Atlantiques, l'association l'Arribet gère des établissements pour personnes âgées dépendantes. Elle a ouvert en 2019 un service d'accueil de mineurs non accompagnés (MNA), et guide et forme ces jeunes aux métiers en tension, notamment de l'aide à la personne.

Le 16 mai, lors du comité interministriel du handicap (CIH), le gouvernement a fait le point sur l’avancée des mesures en faveur de l'école inclusive. Il promet aussi un fonds de soutien de 250 millions d’euros pour la transformation de l’offre médico-sociale d’ici 2027, ainsi qu’un observatoire des besoins par région.

Dans le cadre du contrôle des antécédents judiciaires des personnes intervenant dans le secteur social et médico-social, l'administration pourra délivrer, dans des conditions à préciser par décret, une "attestation" justifiant de l'absence d'incapacité à exercer.

Apprendre le français, découvrir les métiers d'un Ehpad, pour ensuite peut-être se former et y obtenir un poste : c'est l'opportunité offerte à une douzaine de jeunes mineurs non accompagnés (MNA) par l'association l'Arribet. Laquelle y trouve, en retour, un vivier de possibles recrues.

À l’approche du renouvellement d'une partie du conseil d’administration de Nexem, le 5 juin, le collectif "Nouvelle donne" fait campagne pour obtenir la majorité des sièges. Son mot d’ordre : la mise en place d'un rapport de force avec les pouvoirs publics, notamment sur les 183 euros du Ségur. Explications de Philippe Calmette et Olivier Fabiani, deux des membres fondateurs.

La loi "Bien vieillir" crée une nouvelle instance, une cellule chargée de recueillir, suivre et traiter les signalements de maltraitances envers les personnes majeures vulnérables en raison de leur âge ou de leur handicap.

Une instruction vise à "coordonner les dernières autorisations d'engagement (AE) et la consommation totale des crédits Ségur" 2024 en faveur de projets de rénovation et de construction dans les Ehpad.